Députée d'Indre-et-Loire
Membre de la commission Affaires étrangères
Membre de la commission des Affaires européennes
Catégories : Travail en Circonscription
A l’approche de la saison touristique, les interrogations sur la reprise de l’activité continuent d’affluer : quand est-ce que les cafés/restaurants pourront rouvrir ? Dans quelles conditions ? Les dispositifs d’aides aux entreprises pourront-ils être prolongés en cas de faible reprise de l’activité ? Autant de questions qui démontrent la volonté des commerçants à reprendre dans les meilleures conditions possibles.
A Bourgueil, on espère que la saison 2021 sera meilleure que celle de l’année précédente. En effet, si les mois de juillet et août avaient été particulièrement bons, ils n’ont cependant pas suffi à compenser les pertes liées à la crise sanitaire.
S’il est encore difficile de donner un calendrier de réouverture précis, l’espoir réside dans la vaccination. En Indre-et-Loire, celle-ci va s’intensifier dans les prochains jours, avec une multiplication du nombre de doses livrées par trois et l’ouverture prochaine de deux nouveaux centres à Ville de Saint Cyr sur Loire et Saint Avertin.
L’autre instrument qui devrait permettre de relancer l’activité touristique, c’est le certificat vert. Présenté par la Commission européenne le 17 mars dernier, celui-ci prouverait qu’une personne ait bien été vaccinée, qu’elle a obtenu un test négatif à un test de dépistage ou qu’elle a guéri de la Covid-19. Ce certificat, qui serait reconnu par tous les États membres de l’Union européenne, faciliterait ainsi les déplacements sur le territoire européen.
En attendant, les acteurs du territoire se mobilisent :
Ce travail en synergie est essentiel pour accompagner la reprise de l’activité en Touraine !
Tout cela se fait bien sûr en complément des aides de l’État (fonds de solidarité, PGE…) ainsi que des mesures de l’Union européenne qui permettent aux pouvoirs publics d’octroyer ces fonds. Par ailleurs, je suivrai avec attention les négociations entre la Commission européenne et l’État, sur une possible transformation des PGE en subventions, pour les entreprises relevant des secteurs les plus touchés.
Je remercie l’UCAB de m’avoir invitée à ce moment d’échange avec les forces vives du territoire.